La réaction de l’entraineur, Cédric Carn :
“Nous recevions l’US St Malo. Nous effectuons une première mi temps plutôt maîtrisée, malgré un manque de justesse technique nous avons une première opportunité d’ouvrir le score dès la 2e minute, mais le gardien Malouin remporte son face à face. Ce n’est que partie remise puisque l’ouverture du score interviendra à la 8e minute suite à un CPA frappé côté gauche par Martin Le Jehan. Son centre trouve la tête de Thibault Guerin qui catapulte le cuir au fond des filets 1-0. Nous maintenons la possession dans le camp adverse mais notre manque de régularité technique ne nous permet pas de rythmer la rencontre comme on l’aurait souhaité. Cependant notre déchet technique contraste avec notre capacité à vite réagir à la perte, ce qui nous a permis de rester installé dans le camp de St Malo. Nous doublerons la mise, suite à un raid de Thibault qui éliminera 3 joueurs, avant de servir Rafa Petit qui trompera le portier Malouin 2-0 (20e). Nous marquerons un troisième but par l’intermédiaire d’Elouan Joubin, qui profitera d’un centre en retrait de Martin Le Jehan pour marquer d’un plat du pied à l’entrée de la surface 3-0 (36e). St Malo ne se sera pas montré dangereux jusque là, mais à la 39e minute, suite à un nouveau ballon rendu en zone basse, St Malo profitera d’une rentrée de touche suivi d’une frappe soudaine pour revenir dans le match, 3-1 (40e). 3-1 à la pause. Au retour des vestiaires, St Malo inscrira un second but, suite à un CF, le ballon est mal renvoyé, et sur le second ballon, un manque de communication permettra à l’attaquant de n’avoir plus qu’à pousser le ballon dans le but vide 3-2 (42e). Ce sera la seule occasion de St Malo dans cette seconde période. En effet, à l’image de la première mi-temps, nous dominerons la seconde, et nous marquerons le 4e but en fin de match, par Nathanaël Pêcheur sur un centre du capitaine Lucas Gauthier, 4-2 (72e). Un match que nous aurions dû gagner par 3 ou 4 buts d’écart, mais notre manque de justesse et surtout d’exigence ont permis à St Malo d’espérer jusqu’au bout… »