Bénévoles – Portrait de Monique Rousseau

3 Déc, 2020 | News

Monique, comme toute la famille Rousseau (Serge son mari est adjoint des seniors féminines et sa fille Charlène est joueuse et arbitre au club), fait partie de ces personnes dévouées qui font la force du Stade Briochin. Toujours disponible et souriante, préférant opérer dans l’ombre, son action et son implication en font une personne très appréciée au club.

Guillaume Allanou, Directeur Général et Sportif

 

Les bénévoles sont au cœur de la vie associative. Sans eux, nos joueurs ne disposeraient pas des conditions optimales dans lesquelles ils évoluent aujourd’hui. Sans eux, l’ambiance qui règne à Fred Aubert les soirs de matchs ne serait pas aussi plaisante. Focus sur ces personnes qui, dans l’ombre, œuvrent à la réussite de notre club. 

Pour ce troisième épisode, nous avons pu nous entretenir avec Monique,

 

Bonjour Monique, pouvez-vous présenter votre parcours, votre histoire avec le Stade Briochin et le rôle que vous occupez ?

Alors, concernant mon parcours de vie, je travaillais au Joint Français et je suis maman de cinq enfants, dont quatre ayant foulés les pelouses synthétique et herbe du Stade Briochin.
Je suis arrivé en même temps que mon second fils, Maxime, lorsqu’il a intégré l’équipe U13 de Michel Renault, à l’époque, il y a 15 ans de cela.
Côté bénévolat, j’ai commencé à la billetterie aux côtés de Fabienne (Intendante du club, ndlr), puis j’ai ensuite fait partie de l’équipe en cuisine, avec Jeannot, Phillipo et Agnès. Aujourd’hui je prépare les collations pour les équipes.

Comment s’est développé cet attachement pour les Jaunes et Bleus ?

Lorsque je suis arrivée, le club recherchait des bénévoles. J’ai commencé à donner un coup de main et je ne suis jamais repartie. Ainsi, de fil en aiguille, je me suis attachée aux valeurs du club et à l’ambiance y régnant.

Quelles sont donc les valeurs du club qui vous ont donné envie de vous investir pour ce dernier ?

C’est le côté familial, indubitablement. Il y a réellement une ambiance particulière au club.

De ce fait, comment se répartit le temps que vous consacrez au club ?

Je suis là le week-end pour les matchs des équipes principales : la Nationale, la réserve, la Régionale 3 et enfin les Féminines. En plus de cela, je viens le lundi pour faire un peu de ménage.

Nous imaginons que l’accession à la troisième division a dû raviver quelques glorieux souvenirs…

Alors, malgré mon arrivée tardive, j’entendais déjà parler du club, via la presse principalement. Je regardais cela de loin, même si je n’étais pas une suiveuse assidue comme je le suis aujourd’hui, évidemment.

 

 

 

Tout supporter ou fan de football scrute plus particulièrement les prestations de son joueur favori. Quel griffon attire le plus votre attention les soirs de match ?

Il y a quatre joueurs que j’aime vraiment bien, Nationale et Nationale 3 confondues. Léo Berlin et Florian Beurel sont ceux que j’apprécie le plus en réserve, pour leur combativité et leur débauche d’énergie. En équipe première, j’aime beaucoup Rémi Fombertasse et Yoann le Méhauté.

Dans cette même optique, un joueur que vous aimeriez voir fouler la pelouse de Fred Aubert dans les saisons à venir ?

Cela semble un peu fantaisiste, mais je dirais Hugo Lloris, par rapport à mon fils Jordan (ancien du club, ndlr), gardien de but lui aussi.

Une préférence entre l’ancienne et la nouvelle génération ?

J’avoue ne pas avoir de préférence.

Votre meilleur souvenir dans ces travées ?

Je retiens avant tout les montées. A chaque fois, c’était une belle fête et le début de quelque chose de nouveau. C’est un moment particulier, cela l’a été encore plus cette saison.

Le match de rêve que vous aimeriez voir depuis les gradins, contre qui serait-il ?

Olympique de Marseille – Stade Briochin, sans hésitation.

Enfin une dernière petite question, pour vous c’est quoi un bon bénévole ?

Oh, c’est assez simple : donner de son temps, sans prise de tête et toujours dans l’intérêt du club.

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